jeudi 27 décembre 2007

Tanger, le Royal Golfa

Où dormir à Tanger?
Inauguré en 1917 par Moulay Abdelaziz, le Royal golf de Tanger est le premier des nombreux et magnifiques parcours du Maroc.
C’est sous sa Majesté Hassan II, que les architectes, Cotton et Pennink l’on modernisé tout en lui conservant son caractère naturel. Le parcours de 18 trous ondule parmi les cyprès, les pins et les sapins, les eucalyptus.. Les fairways franchissent la montagne, descendent, remontent... Le trou n°5, un par 4, réclame une attention soutenue et beaucoup de dextérité : une côte abrupte coincée entre les sapins et un green minuscule et pentu... La récompense est à la hauteur : à perte de vue, les
toits de Tanger la blanche s'alignent sous le soleil.
Le club-house surplombant le putting-green et le practice donne sur un grand jardin égayé par une fontaine.

lundi 17 décembre 2007

El Jadida, histoire de la ville


Où dormir à El Jadida?
En 1502, des naufragés portugais y construisent un petit fortin; douze ans plus tard, en 1514, le roi du Portugal fit édifier un château fort et une petite agglomération qu’on baptisât Mazagan (Mazagão).
En 1541 après la perte, d’Agadir, Safi et Azemour, les portugais décident d’y concentrer tous leurs efforts et ainsi de faire de Mazagan une citadelle imprenable…. Pendant 2 siècles ils réussirent à repousser tous les assauts….
Mais en 1769 le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah attaque Mazagan et après 2 mois de siège, le roi du Portugal donne l’ordre de quitter la place. Avant d’évacuer, les portugais brûlent leurs maisons et minent les bastions et remparts… si bien que lorsque les
assaillants entrent dans Mazagan une série d’explosions détruit la ville.
Bien que rebaptisée EL- Jadida, la ville resta à l’état de ruines pendant presque 50 ans, et ce n’est qu’en 1820, sur ordre du Sultan Moulay Abderrahman que l’ancienne cité portugaise se releva de ses ruines.

mercredi 5 décembre 2007

Tétouan, histoire de la ville


Tétouan semble avoir existée depuis la conquête arabe, elle fut connue sous le nom de Tittawin qui signifie sources en langue berbère.
Certains auteurs attribuent la fondation de cette ville au soufi andalous Sidi Abdelkader Tabine qui s’installa à Tétouan vers 1148 et il commença à urbaniser le site de Tétouan pour la première fois par la construction d’un ensemble de demeures, d’une mosquée, des boutiques et des moulins.
En 1286 Abou Youssef Ya’coub le Mérinide fit construire la Qasba de Tétouan qui a été utilisée comme base militaire pour le siège de Sebta.
En 1307, Abou Tabit Emir mérinide fit construire un grand
faubourg autours de cette Qasba qui a été bâti par son prédécesseur.
Aux environ de 1437 la ville a été détruite, probablement par les Portugais de Sebta, elle reste ruinée et abandonnée jusqu’à la fin du XV ème siècle où elle fut reconstruite.
Selon de nombreuses sources historiques, la reconstruction de la ville de Tétouan devrait se situer vers 1492-93, juste après la chute de Grenade. Elle était l’oeuvre d’Abou Al Hassan Ali Al Mandari un réfugié andalou de la région de Grenade.
Juste après sa reconstruction en 1493 et au moment où toutes les villes de la côte méditerranéenne étaient occupées par les Portugais et les Espagnols, la ville de Tétouan était devenue à la fois une base du Jihad, un centre de négoce et un foyer de piraterie parmi les plus renommés dans le bassin méditerranéen.
Parallèlement à ces activités, la ville continuait à attirer d’autres flux migratoires d’origine andalouse et allait connaître un grand développement urbain qui s’est traduit par la création de nouveaux quartiers qui se sont greffés au premier noyau formé de Hay Al-Balad et la Qasba de Sidi Al-Mandri.

mardi 27 novembre 2007

Laâyoune, présentation de la ville

Fondée par les Espagnols en 1932, Laâyoune fut à l’origine une grande oasis sur l’oued Sakia el Hamra (fleuve mythique auquel J.M.Le Clézio fait référence dans ‘Désert’) qui traverse le Sahara marocain d’Est en Ouest.
C’est aujourd’hui la capitale provinciale du Sahara Marocain et un important centre administratif et minier.
Alors qu’on pouvait la croire perdue dans son Sud lointain, la ville a vu croître son importance économique grâce au voisinage du gisement phosphatier de Boukraa, à la proximité des Canaries, et à la volonté du gouvernement marocain.
Ville en peine expansion, Laâyoune présente une place centrale majestueuse, bordée d’échoppes d’artisans bijoutiers sahraouis. Les bâtiments ont été conçus dans un style moderne respectant l’architecture saharienne classique. De la place partent des rues rectilignes le long desquelles sont bâties des maisons généralement basses, le plus souvent coiffées de coupoles. Le vieux quartier, dans la partie basse de la ville, avec sa cathédrale et son ancien Parador, témoigne du passé espagnol.
C’est aussi la ville-étape à partir de laquelle on peut se lancer à la découverte du désert dont les dunes de sable s’étendent sur une distance de 300 km au sud de la ville, et où font halte plusieurs rallyes automobiles.

lundi 26 novembre 2007

Zagora


Tout comme Ouarzazate, Zagora, a été crée sous le Protectorat français comme centre administratif - fut également le berceau des Saadiens, qui entreprirent la conquête du Maroc au XVI ème siècle.
« Tombouctou, 52 jours de chameau » : toute la mythologie et la fascination du désert sur ce célèbre panneau…il signe la vocation ancienne de Zagora, dernière étape de la route caravanière. Pour ceux qui rêvent de la grande aventure saharienne, les environs de Zagora permettent d’effectuer quelques excursions courtes –les premières dunes sont à 26 km – ou beaucoup plu longues, vers Mhamid notamment.
A voir : le Djebel Zagora, qui offre un panorama sur le désert et la palmeraie très
intéressant – excursion à faire au lever ou au coucher du soleil de préférence (avec un 4x4, on peut accéder jusqu’à la moitié du parcours, ensuite il faut poursuivre à pied)

jeudi 22 novembre 2007

Mohammedia, le Royal Golf

Crée dans les années 20, le Royal Golf de Mohammedia est dessiné en bordure de l’océan Atlantique, situé à 17 KM de Casablanca, il déploie la splendeur de ses 18 trous tout au long des 5917 m que forment le parcours.
Fortement venté, du fait de sa proximité de la mer, il demande certaines prouesses aux golfeurs notamment si leur balle venait à tomber sur ses dunes de sables recouvertes de cactus.
Au trou N° 9, retour dans les bois, parmi les odorants pins maritimes, son green est joliment défendu par une armée de fleurs. Un parcours technique pour golfeur aimant composer avec le vent.

mardi 20 novembre 2007

Shem’s Casino-Agadir

A proximité de l’hôtel Sheraton et proche des principaux centre d’attractions d’Agadir, le Shem’s Casino est le troisième établissement de jeu autorisé à Agadir. A part les 80 machines à sous et les tables de jeux européens et américains, ce casino dispose d’une salle privée qui est très pisée par la clientèle du Moyen-Orient. Pour les amateurs de gastronomie raffinée, un restaurant international et un autre marocain, sous tente caïdale, font partie des atouts de Shem’s Casino.

lundi 15 octobre 2007

Laâyoune, Le musée des arts du Sahara

Ouvert en 2001, Le musée des arts du Sahara de Laâyoune est situé au sein de la maison de la Culture, il présente à travers ses collections le patrimoine culturel saharien et le désert Marocain...
Constituée de collections qui représentent l’artisanat local, bijoux, costumes féminins, instruments de musique, ensemble de selles, objets en cuir, reconstitution d’une école coranique, présentation d’une tente nomade, et des accessoires du dromadaire qui représente l’animal le plus prisé au Sahara…

lundi 8 octobre 2007

Agadir, le Royal Golf

En 1955, poussé par sa passion du golf, un Ecossais, Mister Wilson creusa un trou dans ce qui n’était alors qu’un simple pré, ainsi naquit le Royal Golf d’Agadir.
Quelques années plus tard, le Colonel Kamili, autre passionné, poursuivit son œuvre dessina les neuf trous et leur enceinte triangulaire.
Aujourd’hui, Le Royal Golf d'Agadir est un par 36 de 3600 mètres aux fairways emplis de senteurs, sapin, eucalyptus, mimosa, mêlées à celles de I'océan, tout proche... C'est un parcours plus qu'agréable, mais attention aux arbres et au sous-bois très touffu.
Les greens sont larges, bien défendus par de profonds bunkers et des groupes de palmiers qui
ferment les angles.
Difficulté au trou numéro 3, splendide par 5, avec ses 469 mètres et son bel obstacle d'eau qui réclamera toute votre habileté.
Après la partie, ne manquez pas le panoramique club- house, enfoui sous une cascade de bougainvillées.

mardi 2 octobre 2007

Tiznit, la Médina


Les remparts de 7 km de long et 8 m de haut sont flanqués de 56 tours et percés de cinq portes.
Les 5 portes : Bab Aglou, Bab el Khemis, Bab Targa, Bab el Maader et Bab Oulad Jerrar furent réalisées dans la plus pure tradition Alaouite et rappellent très fortement celles de la ville d’Essaouira.

jeudi 6 septembre 2007

Boumalne, les Gorges du Dadès









L’oued Dadès, qui naît sur le versant Sud du Haut Atlas, tranche la montagne en « coup de sabre » à travers d’épaisses assises calcaires
La coloration de ces gorges magnifiques (maintenant accessibles aux voitures de tourisme) joue des rouges et des mauves, au milieu de kasbahs surgies de terre, tandis que les nombreux jardins complètent de leurs harmonies vertes ce superbe tableau.

mercredi 5 septembre 2007

Ouarzazate, les studios de cinéma

Ouarzazate est devenue le centre cinématographique du Maroc.
De nombreuses productions à la renommée internationale ont été tournées dans cette région : ‘Lawrence d’Arabie’, ‘Gladiateur’, ‘Un thé au Sahara’, ‘L’Homme qui voulut être roi’, ‘La dernière tentation du Christ’, ‘Astérix’, ‘Kundun, et plus récemment ‘Alexandre le Grand’, etc. La plupart des films sont réalisés dans les "Atlas Studios" Si vous arrivez de Marrakech, vous ne pourrez les manquer, les 2 grands studios sont situés sur votre droite, juste à l'entrée de Ouarzazate.

lundi 2 juillet 2007

Les kasbahs du Dadès


Les kasbahs du Dadès, à la beauté si particulière, se confondent avec la terre d’où elles sont nées.


Citadelles élevées dans le passé par des chefs locaux et qui perpétuent le souvenir des luttes d’influence de l’époque, ne devant rien à l’art hispano-mauresque, mais relevant d’un art autochtone, berbère, à caractère rural – dont la pauvreté de la matière première (boue séchée et briques crues) est compensée par la décoration géométrique (damiers, triangles, chevrons, losanges, croix, roue solaire,…)

mercredi 20 juin 2007

Meknès, la porte Bab al Mansour


La porte Bab al Mansour est située face à la place El hdim.
Elle fut construit par le Sultan Moulay Ismaïl et achevée par son fils Moulay Abdellah (1732).
Ce monument possède une ouverture de 8 m de hauteur sous forme d'un arc brisé. Ce dernier est orné de rinceaux en céramiques exisés et s’encadre d'un large bandeau constitué par un treillis en relief sur fond de mosaïque polychrome, dont la couleur dominante est le vert.
Elle est supportés par des colonnes massives de marbre blanc surmontées par des chapiteaux de style antique .

lundi 18 juin 2007

Ouarzazate, la Kasbah de Taourirt

La Kasbah de Taourirt : par son importance, son architecture et sa décoration, c’est l’une des plus belles du Maroc (classée monument historique). Elle fut, la plus grande résidence du Glaoui, le pacha de Marrakech.
Ses bâtiments en pisé flanqués de tours crénelées, s’étagent sur des plans superposés, sur fond de murailles crépies de rose et creusées de dessins géométriques.


On peut visiter quelques pièces des anciens appartements du Glaoui, dont la salle à manger et la chambre de la favorite (…), qui ont gardé leur décoration de stuc peint et leurs plafonds en bois de cèdre.
De la terrasse, vue remarquable sur le village fortifié berbère de Taourirt (antérieur à la ville de Ouarzazate, datant du XIIIème
siècle), la vallée et ses oasis, et les montagnes cernant l’horizon.

vendredi 18 mai 2007

Asilah, Dchar Jdid ou l'antique Zilil

TERREMAROC
Où dormir à Ouarzazate ?

Le site de Dchar Jdid est situé à 13 Km au nord-est de la ville d'Asilah et à l’est du village de Had el Gharbia.
Entre 33 et 25 av. J.-C., l’empereur Auguste y installa une des trois colonies romaines de Maurétanie occidentale, Iulia Constantia Zilil.
Les fouilles archéologiques ont permis de dégager des quartiers d’habitation, un grand temple, un ensemble thermal, une imposante citerne à quatre compartiments, alimentée par un aqueduc en partie souterrain, sera construite pour l'alimenter en eau, postérieurement à Hadrien.

La création la plus spectaculaire est celle d'une église paléochrétienne, à
trois nefs, pourvue d'un baptistère et de diverses annexes, près de la porte ouest de l'enceinte, unique monument de cette catégorie dégagé en Maurétanie Tingitane.
La ville fut détruite au début du Vème s. mais la date de l’arrêt définitif de l’occupation du site n’est pas encore déterminée

mercredi 16 mai 2007

Ouarzazate, histoire de la ville


Où dormir à Ouarzazate ?

Construite en 1928 par les français, cette ville de garnison (60 000 habitants) est devenue la capitale administrative de la région du Drâa. Située sur un plateau à 1 160 m d’altitude, au confluent de l’oued Drâa et de l’oued Dadès, dont les vallées sont exceptionnelles. Avec ses maisons de crépi ocre et sa rue centrale démesurément large, la ville peut décevoir, mais son atmosphère particulière annonce déjà le Sahara.




Son exceptionnelle situation géographique lui confèrent le statut de ville d’étape : c’est le point de départ de d’excursions vers la vallée du Dadès à l’Est, la route des Oasis au Sud et vers les montagnes de l’Anti-Atlas. Ouarzazate, c’est avant tout cela : une porte ouvrant sur le rêve de l’aventure inouïe du désert !

vendredi 11 mai 2007

Riad à Ouarzazate

Dar Bladi, authentique maison en pisé du 19ème siècle, offre charme et confort, située au cœur du village de Talmasla, à 3 km de Ouarzazate, vue exceptionnelle sur la Kasbah des Cigognes, le lac et la chaîne de l’Atlas. 6 chambres.


TerreMaroc.com Riad Ouarzazate



Riad de luxe avec une très bonne cuisine Marocaine, des chambres climatisées, décoration traditionnelle….